Calendar
|
|||||||||
Mo | Tu | We | Th | Fr | Sa | Su | |||
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | ||||
7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12* Ritratto Voce at 8:00 pm |
13 | |||
14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | |||
21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | |||
28 | 29 | 30 | 31 |
Calendar by Kieran O'Shea
Premier épisode, « … autant choisir son bruit… »
Deuxième épisode, « … si le son se séparait de son essence mélodique… »
Note de programme
Tous les sons de cette installation proviennent d’enregistrements d’espaces, d’instruments, de répétitions, de voix et d’œuvres liés à L’Itinéraire. Les prises de son racontent des promenades et des témoignages par les gestes, les portes, les soupirs, les mots et le jeu. Des œuvres sont détournées ; des improvisations sont réalisées (en particulier par Lucia Peralta, Myrtille Hetzel et Nathalie Forget).
Tous les sons sont recomposés pour écrire une histoire sonore. Les sons, les mots et les espaces sont décontextualisés. Cette installation est un voyage, réalisé comme un film, des segments libres, une série à épisodes. C’est un nœud, l’agencement d’événements. D’une certaine manière cette installation n’est pas mienne, car il s’agit de sons des autres. Plusieurs styles sont employés : le trope, le calque, la parodie, la variation, l’immersion, l’intrusion dans un instrument. L’écriture instrumentale est in situ elle-même. Une symphonie multidimensionnelle ; des moments d’écoute profonde contrastent avec
une activité sonore extrême. Und Scelsi und Grisey sind auch dabei. Réalité et invention s’entremêlent dans une histoire des sons. De grands remerciements aux personnes qui sont présentes avec leurs ombres sonores : Lucia Peralta, Myrtille Hetzel, Nathalie Forget, Grégoire Lorieux, Christophe Forey, Roque Rivas, Sylvain Cadars, Sylvain Devaux, David Mengelle, Jessica Simon, Raphaël Salin Peralta, Johannes Regnier, Tristan Murail, Michaël Levinas, Cyril Béros. Ainsi que les lieux suivants : la Cité internationale, le bureau de L’Itinéraire, la rue, un taxi, l’Espace de projection…
Joyeux anniversaire à L’Itinéraire !
Les mots utilisés dans cette pièce sont totalement décontextualisés. La responsabilité de leur contenu et de leur sens relève uniquement du compositeur. Ce sont des objets sonores. Cette pièce existe en deux versions, la première pour électronique seule et la seconde pour électronique avec instruments.